Sister cars, page 2


Glas 1700 / BMW 2000 SA


Le constructeur allemand Glas est racheté par BMW en 1967. Le site de production de BMW en Afrique du Sud propose durant les années 70 cette berline 2000 SA, qui n'est rien d'autre qu'une Glas 1700 rebadgée. Le dessin original de cette quatre portes est signé Pietro Frua, qui a aussi dessiné la Maserati Quattroporte de première génération, ce qui explique la forte ressemblance.

Glas 1700

BMW 2000 SA


Borgward 2,3 litres / Borgward 230


Après avoir fait l'acquisition des outillages et des droits de fabrication de la Borgward 2,3 litres, la Fanasa - Fabrica Nacional de Automoviles - à Nuevoleon au Mexique assure sa production de 1967 à 1971. Deux modèles sont disponibles, la 230 et la 230 GL, qui se différencient par leur niveau de finition. La 230 GL est semblable à la Borgward telle qu'elle était construite en Allemagne, tandis que la 230 normale est modernisée en gommant les ailerons et en supprimant la lunette arrière panoramique. 

Borgward 2,3 litres

Borgward 230 GL


Alpine / Alpine Willys Interlagos / Alpine Fasa / Dinalpine / Bulraralpine


Alpine en France, usine de Dieppe

Les dirigeants de Willys Overland, premier constructeur brésilien à l'époque, souhaitent ajouter à leur catalogue une voiture de sport. Après s'être intéressé à diverses productions européennes, leur choix s'arrête sur Alpine. Produisant déjà la Dauphine sous licence depuis 1959, la mécanique Renault n'a plus guère de mystère pour eux. Présentée en novembre 1961 au Salon de Sao Paulo, les Alpine brésiliennes, baptisées Interlagos, en référence au circuit du même nom, sont commercialisées à partir de 1962. 822 exemplaires de l'Alpine seront produits au Brésil de 1962 à 1966.

Alpine Willys Interlagos, salon de Brasilia 1966

En 1951, un industriel espagnol, Manuel Jimenez Alfaro, signe avec Renault un accord de fabrication sous licence de la 4 CV dans une nouvelle usine installée à Valladolid. Ainsi voit le jour la FASA (Fabrication de Automoviles SA), dont Renault prend le contrôle en 1965. Le Cabriolet et la Berlinette A 108 y sont produits à partir de 1963, et la Berlinette A 110 à partir de 1967. La production totale sera de 1906 exemplaires, dont 188 A 108, 152 A 108 Cabriolet, et 1566 A 110.

Alpine FASA

L'entreprise nationale d'état mexicaine " Diesel National ", spécialisée dans la production de bus et de poids lourds, en relation avec Fiat depuis plusieurs années, engage des négociations avec Renault pour la fabrication sur place de la Dauphine à partir de 1962, puis plus tard des Estafette, R4, R8, R10 et R12. C'est dans le cadre de ces contacts que Jean Rédélé pousse ses pions en 1963 jusqu'au Mexique, pour y faire assembler localement la Berlinette. Pour la circonstance, une nouvelle marque est créée, du nom de DINALPIN (DIesel National ALPINe). Les Alpine sont fabriquées sur place de 1965 à 1972, jusqu'à l'échéance des accords unissant les deux sociétés. On dénombre au Mexique la production de 508 Berlinette A 110, 67 Cabriolet A 110 et 118 GT4.

Dinalpin

L'Alpine est aussi assemblée en Bulgarie de 1966 à 1969. Le contact a été initié par Pierre Dreyfus, PDG de Renault, qui propose en 1965 à Jean Rédélé de s'intéresser à ce pays du Bloc de l'Est où la Renault 8 est fabriquée. Le projet, dans le cadre d'une planification inspirée du modèle soviétique, prévoit la diffusion de l'Alpine vers les pays du Comecon (organisation d'entraide économique entre les différents pays du bloc communiste). Jean Rédélé se déplace à de multiples reprises dans ces pays pour convaincre plusieurs commissions de l'intérêt du projet, avant de signer un contrat au nombre de clauses invraisemblable. Selon les sources, entre 60 et 120 voitures auraient été produites en Bulgarie.

Bulgaralpine


Bulgarrenault 8 / Renault 8


Bulgarrenault est le fruit d'une collaboration entre Metalhim, une entreprise travaillant pour la défense, et Bulet, un organisme de promotion des exportations bulgares. Cette société voit le jour en 1966, et assemble - entre autres - des automobiles jusqu'en 1970, en l'occurrence des Renault 8 et des Renault 10, sous la marque Bulgarrenault. Les voitures sont achetées à Renault en CKD et montées en Bulgarie chez Metalhim. Des éléments produits localement vont remplacer au fil des ans les pièces importées. L'objectif initial était de produire 3 000 voitures par an, mais en cinq ans il n'y a eu que 4 000 Renault 8 et Renault 10 bulgares à voir le jour.

Bulgarrenault 8

Renault 8


BMW 327 / Bristol 400


La première automobile Bristol, la 400, est présentée au Salon de Genève 1947. Il s'agit d'une voiture directement dérivée des BMW d'avant-guerre dont elle reprend d'ailleurs la célèbre calandre. Elle utilise un châssis similaire à celui de la 326, et une carrosserie s'inspirant de la 327. Le moteur est une évolution du deux litres six cylindres de la 328 Sport. Cette 400 sera fabriquée à 700 exemplaires entre mars 1947 et fin 1949, tous en coach deux portes, à l'exception d'un unique cabriolet.

BMW 327

Bristol 400


Buick Excelle / Daewoo et Chevrolet Lacetti / Holden Viva / Suzuki Reno / Chevrolet Optra 5


Une voiture mondiale par définition, dans la grande galaxie General Motors. Ce modèle est disponible à travers le monde sous les marques Buick (Excelle), Daewoo et Chevrolet (Lacetti), Holden (Viva), Suzuki (Reno) et Chevrolet (Optra 5). La GM est un spécialiste de la déclinaison à l'infini de tel ou tel modèle de conception asiatique sur toute la planète. Les citer tous occuperait une large part de ce chapitre et deviendrait vite ennuyeux.

Chevrolet Lacetti

Buick Excelle (Chine)


Chery Fulwin / Seat Toledo


Quand la carrière de la Seat Toledo de première génération (1991-1998) s'achève en Espagne, les droits et les outillages de la voiture sont revendus au Brésil. Le projet de production dans le plus grand pays d'Amérique du Sud ne verra cependant jamais le jour. Mais rien ne se perd, et les moyens industriels sont rachetés en 1999 par le constructeur automobile chinois Chery, lui-même associé à SAIC, partenaire de Volkswagen en Chine. Le groupe allemand ne voit pas d'un très bon oeil cette copie de l'un de ses anciens produits, et des actions en justice sont entreprises contre les Chinois. Après quelques modifications, cette " réplique " de la Toledo est maintenue au catalogue jusqu'en 2006 sous d'autres noms, notamment Fulwin.

Chery Fulwin

Seat Toledo


Buick Lacrosse


Imaginez que Peugeot devienne un constructeur asiatique, et perde progressivement ses racines françaises. Imaginez qu'il se vende plus de Peugeot en Chine qu'en Europe ... du cauchemar à la réalité ... C'est ce qu'est en train de vivre la marque Buick, qui distribue désormais plus de voitures en Chine qu'en Amérique du Nord. La Lacrosse présentée ici a été étudiée conjointement par des ingénieurs chinois et américains, et elle est vendue sur les deux marchés.

Buick Lacrosse


Buick Sail / Opel Corsa


Grandeur et décadence ... La marque ringardisée aux States connaît depuis les années 2000 une nouvelle existence en Chine où son prestige semble intact. Mais cela n'aurait pas duré bien longtemps avec des produits comme la Sail proposée de 2000 à 2005. Ce n'est rien d'autre qu'une Opel Corsa dotée de l'emblème Buick, constructeur qui n'a jamais produit dans son histoire d'aussi petites autos. Depuis, et pour rester cohérent avec son image, Buick est remonté en gamme.

Buick Sail / Opel Corsa

Buick Sail / Opel Corsa


Asüna Sunfire / Isuzu Impulse / Geo Storm


La marque automobile Asüna est créée en 1993 de toutes pièces par la General Motors exclusivement pour le marché canadien. Elle proposera durant sa courte existence trois modèles produits par ses partenaires du moment : Suzuki Vitara, Isuzu Impulse et Daewoo Le Mans. Son destin sera écourté, puisqu'en 1995 les voitures sont rebadgées Geo, autre marque de la GM créée en 1989. Asüna et Géo doivent leur naissance à la nécessité pour la GM de rivaliser avec les importations européennes et asiatiques de modèles économiques. Geo disparaît à son tour en 1997, et la GM mise alors plus simplement sur sa marque historique Chevrolet. Cet embrouillamini explique pourquoi le coupé Isuzu Impulse d'origine japonaise s'est retrouvé en Amérique du Nord sous les  noms de Asüna Sunfire et Géo Storm.

Asüna Sunfire

Isuzu Impulse

Geo Storm


Cadillac Catera / Opel Omega


La Cadillac Catera n'est qu'une version rebadgée de l'Opel Omega B allemande (1994-2003). Adaptée aux contraintes du marché américain, elle est importée depuis l'Europe. Sa commercialisation débute en 1997. Elle vise une clientèle plus jeune que celle des Cadillac traditionnelles, mais elle n'atteindra jamais sa cible. Environ 95 000 exemplaires sont vendus jusqu'en 2001.

Cadillac Catera

Opel Omega


Audi 100 / Xia Hongqi


L'Audi 100 de troisième génération est proposée en Europe de 1982 à 1991. Parallèlement, Audi cherche à s'implanter en Chine, marché promis à un bel avenir. Il s'associe pour cela avec un constructeur local du nom de FAW ou First Auto Works, pour y produire l'Audi 100 sous le nom de Xiao Hongqi, qui se traduit par " petit drapeau rouge ".

Audi 100

Xiao Hongqi


Chrysler Sigma / Mitsubishi Galant


Les premiers accords industriels et commerciaux entre Chrysler et Mitsubishi datent de 1971. Ils aboutissent notamment en 1988 à la création d'une usine aux Etats-Unis, appartenant à 50/50 aux deux partenaires. En Australie, la Chrysler Sigma est une version australienne de la Mitsubishi Galant. Elle est produite sous cette forme de 1977 à 1980. Lors de la reprise en main de l'usine par Mitsubishi en 1980, la voiture est partiellement redessinée, et retrouve le nom de Mitsubishi Sigma.

Chrysler Sigma

Mitsubishi Galant


Lonsdale Saloon / Mitsubishi Galant


Lonsdale est une société de vente d'automobiles qui commercialise en 1982 et 1983 en Grande-Bretagne la Mitsubishi Galant. Lonsdale correspond au lieu de production de la voiture, près l'Adélaïde en Australie. L'idée de la société Lonsdale est de contourner les quotas d'importation de voitures japonaises en faisant venir ce modèle d'Océanie. Cette aventure commerciale se soldera par un échec cinglant, et une liquidation de l'affaire. Quoi qu'il en soit, Mitsubishi continuera de vendre dans son propre réseau et sous sa marque la Sigma jusqu'en 1984.

Lonsdale Saloon


CX Automotive / Citroën CX


Deux sociétés au moins, Trend Imports et Yareb Hydraulics, ont importé aux Etats-Unis en dehors de tout accord officiel avec Citroën quelques CX Diesel entre 1978 et 1982. Mais la démarche qui a le plus marqué les esprits est celle de CX Automotive (ou CX Auto). Cet indépendant propose pendant quelques années au public américain l'un des fleurons de la production française. CX Auto possédait une usine aux Pays-Bas. Les voitures y sont inspectées suivant des procédures précises, et adaptées aux normes américaines. Environ 400 exemplaires de la CX seront commercialisés aux States entre 1985 et 1990.

CX Automotive

Citroën CX


Nanjing Soyat NJC 7150 / Seat Ibiza


La Seat Ibiza de première génération est produite à Barcelone de 1984 à 1993. Nanjing Automobile Corporation - NAC - est une entreprise d'état chinoise fondée en 1947. Elle rachète à Seat la licence pour produire l'Ibiza première du nom. La production commence en 1999. La version chinoise est vendue sous la marque Soyat et sous la désignation NJC 7150. Elle n'a jamais été exportée en dehors de la Chine. Soyat produit également un SUV et un pick-up sous licence Isuzu.

Nanjing Soyat

Seat Ibiza


Chevrolet Senator / Daewo Super Royal Salon / Opel Senator


Du temps de sa récente splendeur, la General Motors comptait jusqu'à douze  marques automobiles : Buick, Cadillac, Chevrolet, Daewoo, GMC, Holden, Opel, Hummer, Pontiac, Saturn, Vauxhall et Saab. En fonction de la notoriété de telle ou telle marque dans tel ou tel pays, le géant américain jouait avec les dénominations. Cette Opel Senator de première génération (1977-1984) était ainsi vendue en Corée sous le nom de Daewoo Super Royal Salonet et en Afrique du Sud sous celui plus " international " de Chevrolet Senator, avec les logos correspondant à ces différentes marques.

Chevrolet Senator

Daewoo Royale Super Salon

Opel Senator


Daewoo Royale / Opel Rekord


Daewoo et la General Motors, c'est un peu  " je t'aime moi non plus ". En 1972, la GM fait l'acquisition de la moitié du capital de Daewoo, puis s'en sépare en 1992, avant de revenir en 2002. Entre-temps, quelques modèles bien germaniques vont connaître leurs heures de gloire en Corée, comme la Daewoo Royale disponible en de multiples niveaux de finition entre 1980 et 1991, et qui correspond à l'Opel Rekord allemande. 

Daewoo Royale

Daewoo Royale Salon

Opel Rekord


Audi 50 / Volkswagen Polo


L'Audi 50 est une citadine trois portes produite à partir de 1974 à destination d'une clientèle essentiellement urbaine. On doit ses lignes à Claus Luthe et Marcello Gandini en collaboration avec les équipes de Bertone. Six mois plus tard, Volkswagen propose la Polo, quasiment identique à sa cousine. Ces deux voitures cadrent parfaitement à la demande du marché après la crise pétrolière de 1974. Le groupe VW est alors en pleine construction. Audi va bientôt monter en gamme, et délaisser l'Audi 50 en 1978. Volkswagen conservera la Polo sous cette forme jusqu'en 1982.

Audi 50

Volkswagen Polo


Chevrolet Prizm / Toyota Sprinter


La Prizm est une berline quatre portes développée dans le cadre de la coentreprise NUMMI - New United Motor Manufaturing Inc - créée par Toyota et General Motors en Californie. Produite à Fremont dans la même usine que la Toyota Corolla, la Prizm est vendue aux Etats-Unis sous les marques Géo de 1992 à 1997, puis Chevrolet de 1998 à 2002. Son équivalent au Japon est commercialisé sous la désignation Toyota Sprinter.

Geo Prizm

Toyota Sprinter


Cimos Citroën Diana / Citroën Dyane


Fiat s'est implanté en Yougoslavie en 1953 par le biais de Zastava. En 1955, Citroën lui emboîte le pas, en signant un accord avec Tomos, fabricant local de cyclomoteurs depuis 1955. L'assemblage de la 2 CV démarre en 1960. En 1972, un nouvel accord est validé afin de renforcer les liens franco- yougoslaves. Le fabricant de matériel électrique Iskra, fournisseur notamment de démarreurs pour Citroën, se joint à Tomos et à Citroën pour créer Cimos. La firme de Javel détient 49 % du capital de Cimos. La fabrication locale de la Dyane débute en 1968. Les évolutions suivent celles du modèle français avec un léger décalage. En 1975, la 2 CV est retirée du catalogue yougoslave. Seule la Dyane survit, mais sous la désignation Diano 6 L. Face à la concurrence, les ventes déclinent doucement. La production cesse en septembre 1982.

Cimos Citroën Diana

Citroën Dyane


Cimos Citroën DAK / Citroën Acadiane


Cimos importe des Acadiane depuis la France à partir de 1978. Les dirigeants de l'entreprise yougoslave estiment qu'il sont capables de produire eux-mêmes leur propre version de l'Acadiane, sans avoir recours à leur partenaire français. C'est ainsi qu'est étudiée la Cimos DAK. A la différence de l'Acadiane, le châssis n'est pas spécifique à cet utilitaire, et il conserve l'empattement de la berline. Le toit et le fourgon présentent des formes inédites. Les portes battantes sont remplacées par un hayon. Parallèlement, Cimos propose un pick-up baptisé Geri. L'arrivée de la C15 met un point final à cette aventure en 1985, qui se solde par la production d'environ 2500 DAK et 900 Geri. La société Cimos ferme ses portes en 1996.

Cimos Citroën DAK

Citroën Acadiane


Renault 12 / Ford Corcel


La Renault 12 lors de sa conception a été imaginée pour être produite de manière simple à travers le monde, en particulier dans les pays émergents d'Europe de l'Est et d'Amérique du Sud. Sa simplicité technique, sa relative modernité et sa robustesse en font une automobile capable de s'adapter à toutes les conditions géographiques et économiques.

Renault 12

Ford Corcel

Au Brésil, une mésaventure l'attend, qui l'empêchera d'arriver sur le marché sous sa forme originale Renault est le partenaire depuis 1958 de Willys do Brasil, qui fabrique des Dauphine. En 1967, l'actionnaire principal de Willys, Kaiser, décide de vendre les installations industrielles. Renault, minoritaire avec 8,5 % du capital, et surtout limité sur le plan de ses capacités financières, ne souhaite pas reprendre l'affaire à son compte. Ford par contre s'en donne les moyens. La Régie va donc négocier son départ, sous forme d'un dédommagement, puis en cédant sa participation, et enfin en revendant à Ford l'étude du projet 117, future Renault 12, pour son exploitation au Brésil. Les travaux de Renault aboutissent chez Ford à la présentation de la Corcel, qui reprend la plateforme et le moteur 1300 de la Renault 12. Quelques similitudes de style sont perceptibles. C'est surtout évident sur la version break. L'aspect de la Corcel est totalement revu par Ford en 1973 dans l'esprit de ce que propose alors le constructeur dans ses différentes gammes.

Ford Corcel Belina, un air de break R12 !


Renault 12/ Dacia 1300


La Renault 12 sera produite dans de nombreux pays, en Espagne par Fasa Renault, en Argentine par IKA. En Australie elle est assemblée par Renault Australia, dont l'usine est à Victoria, où elle prend la désignation commerciale de Virage. Pour la circonstance, elle adopte l'aspect des Renault 12 vendues aux Etats-Unis. En Turquie, elle est proposée sous l'appellation Renault 12 Toros jusqu'en 1999. Mais l'autre pays de la Renault 12, c'est incontestablement la Roumanie. L'entreprise Dacia voit le jour en 1966 pour produire des dérivés de la gamme Renault française. Son modèle emblématique est la Dacia 1310, directement dérivée de la Renault 12, produite dans l'usine roumaine de Pitesbi de 1969 à 2006. Dacia va proposer à ses clients des évolutions esthétiques jamais vues en France, ainsi que trois versions inédites :  une berline cinq portes, un pick-up et un coupé.

Dacia 1325 Liberta

Dacia Pick Up et Double Cab

Dacia 1310 S

En Angleterre, la Dacia est commercialisée sous le nom de Denem à partir de 1983. Mais le public d'outre-Manche, loin d'être dupe, ne s'est pas laissé séduire par cette berline déjà démodée.

Dacia Denem

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