
Luis de Fabribeckers - Belgique -
1977
Formation
1996/1998, Ecole d'architecture
Saint Luc de Bruxelles
1998/2003, Institut Supérieur de Design (ISD) à Valenciennes
2003
Stage de 7 mois chez BMW avec
Chris Bangle.
2004
Stage de 7 mois chez IDEA à Turin.
2005/2006
A l'issue de cette nouvelle
formation, il rentre en contact avec Franck Stephenson qui vient de
prendre la direction du style chez Ferrari, en lui adressant un book. Mais Franck Stephenson part
chez Fiat, ce qui compromet pour De Fabribeckers un éventuel avenir chez
Ferrari.
D'août 2005 à septembre 2006,
il travaille pour
Gran Turismo Milano.
2006
Son book ayant été également adressé chez Zagato, Paul Koot, PDG du groupe Zeta Europe (propriétaire de Zagato),
le contacte afin de réaliser la Turbotraction, la voiture de Spirou
dessinée par Franquin, un projet idéal pour un jeune belge ... Zeta est également propriétaire
depuis 2006 des droits sur la marque Touring. Paul Koot lui propose
cette année là de prendre en charge le style chez ce carrossier qui
renaît alors de ses cendres, après avoir disparu en 1967.
Deux réalisations marquent le
retour de ce nom prestigieux sur le devant de la scène lors du concours
d'élégance de la Villa d'Este en avril 2008. Il s'agit tout d'abord d'un
break sur base Maserati Quattroporte. Le dessin de la Bellagio
a été finalisé par Alessandro Dambrosio du
centre style Alfa Romeo pour
l'extérieur, et par Louis de Fabribeckers pour l'intérieur.

Maserati Bellagio, 2008
L'autre voiture, une berlinette A8 GCS,
s'impose par un style puissant, signé Louis de Fabribeckers, qui
n'a alors que 31 ans. On retrouve sur ce coupé quelques
signes distinctifs du style Touring, notamment le resserrement des bas de
caisse, ou le sillon en V sur le bossage de capot qui évoque la 3500 GT.

Maserati A8 GCS, 2008
Louis de
Fabribeckers signe le dessin de ce break de chasse sur base Bentley
Continental GTC exposé à Genève en mars 2010. Il vous est présentée
par ailleurs
sur ce site.

Bentley Continental Flying Star,
2009
La Gumpert Tornante se fait
remarquer au salon de Genève en mars 2011. Elle permet au petit
constructeur allemand de proposer enfin une supercar (690 ch) élégante,
ce qui n'était pas le cas du modèle précédent, l'Appolo, qui sacrifiait
l'esthétique à la performance pure. Le dessin de la Tornante fut confiée
à Touring et piloté par Luis de Fabribeckers.

Gumpert Tornante, 2011
Avec les seules MiTo et Giulietta pour garnir son catalogue, Alfa Romeo
n'est pas à la fête. Heureusement, la marque centenaire peut compter
sur les carrossiers, aussi fidèles qu'inventifs. Touring,
spécialiste des coques faites d'aluminium, vient d'enrichir le
patrimoine automobile italien de sa Disco Volante, basée sur feue
l'Alfa Romeo
8C . Et le moins qu'on puisse dire, c'est que la
"soucoupe volante" porte bien son nom. À peine sorti du moule, le
premier exemplaire de série n'a rien perdu de ses rondeurs,
enrichies de quelques aspérités qui attirent irrémédiablement le
regard. Le surnom et les proportions de cet OVNI de la route sont
des clins d'œil à une autre étude du carrossier milanais, datant
de 1952. Avec son look aérodynamique à tout prix et sa carrosserie
très légère, l'ancêtre nommé C52 Disco Volante impressionnait déjà.
Mais la nouvelle mouture y ajoute une mécanique puissante, déclinée
d'un bloc Ferrari. Le V8 4.7 développe ainsi 450 ch, retransmis aux
roues arrière via une boîte 6 séquentielle, installée juste devant
le train arrière.
Touring ne modifie pas la technologie du Trèfle, mais la cache sous
une robe taillée sur mesure, mêlant aluminium et plastiques
renforcés de fibres de carbone. Un procédé innovant pour le
carrossier, qui annonce un délai de six mois pour livrer sa
soucoupe, si le client lui apporte une 8C comme donneuse d'organes.
Le coût de l'opération n'est communiqué que sur demande, et la
transformation entraîne, bien entendu, la disparition définitive
d'une 8C. Ce qui est, en soi, un triste évènement. N'empêche, trois
aficionados ont déjà craqué, et signé des chèques pour s'approprier
une Alfa encore plus exclusive.
Read more at
http://www.automobile-magazine.fr/actualites/alfa_romeo/alfa_romeo_disco_volante#OBGVAYuGa8mDHKjZ.99
Avec les seules MiTo et Giulietta pour garnir son catalogue, Alfa Romeo
n'est pas à la fête. Heureusement, la marque centenaire peut compter sur les
carrossiers, aussi fidèles qu'inventifs. Touring, spécialiste des coques
faites d'aluminium, vient d'enrichir le patrimoine automobile italien de sa
Disco Volante, basée sur feue l'Alfa Romeo
8C . Et le moins qu'on puisse dire, c'est que la "soucoupe volante"
porte bien son nom. À peine sorti du moule, le premier exemplaire de série
n'a rien perdu de ses rondeurs, enrichies de quelques aspérités qui attirent
irrémédiablement le regard. Le surnom et les proportions de cet OVNI de la
route sont des clins d'œil à une autre étude du carrossier milanais, datant
de 1952. Avec son look aérodynamique à tout prix et sa carrosserie très
légère, l'ancêtre nommé C52 Disco Volante impressionnait déjà. Mais la
nouvelle mouture y ajoute une mécanique puissante, déclinée d'un bloc
Ferrari. Le V8 4.7 développe ainsi 450 ch, retransmis aux roues arrière via
une boîte 6 séquentielle, installée juste devant le train arrière.
Touring ne modifie pas la technologie du Trèfle, mais la cache sous une robe
taillée sur mesure, mêlant aluminium et plastiques renforcés de fibres de
carbone. Un procédé innovant pour le carrossier, qui annonce un délai de six
mois pour livrer sa soucoupe, si le client lui apporte une 8C comme donneuse
d'organes. Le coût de l'opération n'est communiqué que sur demande, et la
transformation entraîne, bien entendu, la disparition définitive d'une 8C.
Ce qui est, en soi, un triste évènement. N'empêche, trois aficionados ont
déjà craqué, et signé des chèques pour s'approprier une Alfa encore plus
exclusive.
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Avec les seules MiTo et Giulietta pour garnir son catalogue, Alfa Romeo
n'est pas à la fête. Heureusement, la marque centenaire peut compter sur les
carrossiers, aussi fidèles qu'inventifs. Touring, spécialiste des coques
faites d'aluminium, vient d'enrichir le patrimoine automobile italien de sa
Disco Volante, basée sur feue l'Alfa Romeo
8C . Et le moins qu'on puisse dire, c'est que la "soucoupe volante"
porte bien son nom. À peine sorti du moule, le premier exemplaire de série
n'a rien perdu de ses rondeurs, enrichies de quelques aspérités qui attirent
irrémédiablement le regard. Le surnom et les proportions de cet OVNI de la
route sont des clins d'œil à une autre étude du carrossier milanais, datant
de 1952. Avec son look aérodynamique à tout prix et sa carrosserie très
légère, l'ancêtre nommé C52 Disco Volante impressionnait déjà. Mais la
nouvelle mouture y ajoute une mécanique puissante, déclinée d'un bloc
Ferrari. Le V8 4.7 développe ainsi 450 ch, retransmis aux roues arrière via
une boîte 6 séquentielle, installée juste devant le train arrière.
Touring ne modifie pas la technologie du Trèfle, mais la cache sous une robe
taillée sur mesure, mêlant aluminium et plastiques renforcés de fibres de
carbone. Un procédé innovant pour le carrossier, qui annonce un délai de six
mois pour livrer sa soucoupe, si le client lui apporte une 8C comme donneuse
d'organes. Le coût de l'opération n'est communiqué que sur demande, et la
transformation entraîne, bien entendu, la disparition définitive d'une 8C.
Ce qui est, en soi, un triste évènement. N'empêche, trois aficionados ont
déjà craqué, et signé des chèques pour s'approprier une Alfa encore plus
exclusive.
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Touring enrichi le patrimoine
historique d'Alfa Romeo en exposant au salon de Genève 2012 cette Disco Volante,
directement inspirée d'une création de Touring de 1952, le coupé 1900 C52 Disco
Volante. Mais pour s'offrir ce bijou, il faut laisser à Touring l'un des 500
exemplaires de la 8C originale qui sert de base.

Alfa Romeo Disco Volante, 2012
Trombinoscope
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