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Mochet, Minimalisme sur roues
Descriptif Mochet, Minimalisme sur roues
Editeur : Cépaduès Edition
160 pages
Cote d'amour : 7/10 Le pitch Des Vélocars vus sous l'occupation, aux voiturettes sans permis des années 50, l'amateur connaît bien les réalisations Mochet. Mais il ne sait pas toujours que les Etablissements Mochet sont aussi à l'origine de motos et de side-cars. Quelques personnes se souviennent de l'histoire de cette usine mais peu d'entre nous en ont conservé des " traces " : documents, photos ou même du matériel. Dans cet ouvrage, l'auteur propose de découvrir un à un, au fil des pages, les modèles Mochet. Ainsi on revit l'épopée de cet établissement créé en 1924 et qui ferma ses portes en 1958. On peut s'étonner ou se réjouir de leur ligne, de leurs différences ; les modifications apportées sur chaque modèle permettent même d'identifier la série et l'année de fabrication. Cet ouvrage illustré de photos publicitaires d'époque, de documents techniques et de photos originales, données en partie par Monsieur Mochet lui-même, apporte à un public de passionnés des réponses aux questions que l'on peut se poser sur ces drôles de petites voitures. Les textes sont rédigés en français et en anglais.
Herman Brüning est un authentique
passionné des véhicules Mochet. Dans les années 60, pour son quotidien, il
circule à bord d'occasions bon marché qui datent des années 30 ou même des années 50.
Il bricole beaucoup sur ses automobiles, pour finalement rouler peu. Hermann Brüning
a vite compris que ce qui cédait en premier sur une automobile, ce sont
les accessoires. Il s'est donc mis en quête de minimalisme en automobile. L'un de ses premiers
achats est un cabriolet Kleinschnittger 125 cm3, engin comparable dans sa
conception aux Mochet. Il s'intéresse à ces dernières, relevant aussi leur
simplicité extrême. Le jour où Herman Brüning rencontre Mme Francine
Mochet et M. Georges Mochet, il décide d'entamer la rédaction d'un livre
pour conserver la mémoire de ces drôles d'engins. L'éditeur Les Editions Cépaduès
ont été créées par Jean-Claude Joly en 1967. Elles lancent en 1969
une activité d’édition basée sur des livres de haut niveau scientifique.
En 1976 l’activité bascule définitivement vers l’édition scientifique,
technique et aéronautique. Depuis sa création, Cépaduès possède une imprimerie
intégrée pour fabriquer des fascicules de cours. Cet éditeur est
spécialisé dans les tirages courts. Plan du livre Préface
Une approche modeste qui ne peut
qu'attirer la sympathie Quelques regrets En noir et blanc uniquement Vu par la presse Automobilia, numéro 47, novembre décembre 2000 Si les petits engins conçus par Charles Mochet sont bien connus des amateurs, il faut reconnaître que leur histoire est en elle-même restée nébuleuse. C'est tout le mérite de l'auteur, Hermann Brüning, de nous dévoiler une aventure qui s'étend pourtant sur 34 ans, depuis le premier Vélocar construit en 1924 par Charles Mochet, jusqu'à l'ultime CM 125 commercialisé en 1958 par son fils Georges. Car il y a deux Mochet : le fondateur de la marque, décédé en 1934, et son fils. Avec opiniâtreté, tous deux ont cru en un minimum automobile qui s'est incarné dans des engins toujours pittoresques, mais aussi assez incertains. Même si le formidable désir d'accéder à la motorisation, les crises et les difficultés économiques ont paru parfois justifier leur entreprise, l'évolution même de l'industrie automobile les condamnait. En dépit de la sympathie évidente qu'il éprouve pour les Mochet et leurs productions, l'auteur parvient à retracer ce parcours avec une objectivité et une précision dignes d'éloges. Certes anecdotique, cette aventure n'en méritait pas moins d'être connue et surtout replacée dans son contexte pour être appréciée à sa juste mesure. C'est désormais chose faite. Rétroviseur, numéro 148, décembre 2000, Didier Mantz Cet ouvrage rédigé en français et
en anglais, relate très précisément l'histoire méconnue des Vélocars et
voiturettes Mochet. Des premières réalisations du fondateur de la marque,
Charles Mochet, jusqu'à la fermeture des portes de l'usine en 1958 en
passant par la reprise du flambeau assurée en 1934, par sa veuve et son
fils Georges, vous saurez tout sur les modèles avec ou sans motorisation,
sans oublier les motocyclettes. Ponctué de multiples anecdotes et de
conseils éclairés, ce petit livre d'auteur, bible abondamment enrichie de
documents d'époque, se lit comme un roman. Dommage, toutefois, que la
reproduction des nombreuses illustrations ne soit pas toujours de
merveilleuse qualité. Voir aussi : http://leroux.andre.free.fr/jmpmochet.htm
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